Le SSC a conduit également des programmes d’identification optique au télescope pour 4 sous-ensembles.
Strasbourg a piloté le programme d’identification à basse latitude galactique, d’environ un millier de sources de façon à décrire le mieux possible les effets d’anisotropie induits par la Galaxie (e.g., Motch et al. 2010, Nebot et al. 2013 et Nebot et al. 2015). Ce programme s’appuie sur un certain nombre d’objectifs scientifiques visant à étudier la nature des sources X accrétantes de faible luminosité, sources qui ont échappées aux instruments moins sensibles de la génération précédente. L’objectif scientifique final est de mieux comprendre leur statut évolutif, mettre en évidence de nouvelles classes et détecter des objets rares, par exemple stades de faible durée de l’évolution des binaires, étoiles de type Gamma-Cas (Lopes de Olivera et al. 2011, Smith et al. 2015), étoiles à neutron et trous noirs isolés (e.g. Pires et al. 2008).
Enfin, l’équipe de Strasbourg a coordonné le processus d’identification statistique des sources EPIC. Ce projet repose sur l’utilisation des sous-ensembles de sources complètement identifiées dans la littérature, ou à partir de programmes d’observations au sol dédiés, pour ‘calibrer’ de manière statistique la nature de l’ensemble des sources X (Pineau et al. 2011). Le développement des méthodes de cross-corrélation statistique a été poursuivi dans le cadre du projet ARCHES.