Ce prix distingue Dominique Aubert et Pierre Ocvirk, de l’Université de Strasbourg, ainsi que leur équipe, pour leur projet « Galaxies and reionization simulations using hybrid computing ». Les logiciels développés au sein de ce projet sont optimisés pour tirer parti des nouvelles architectures dites hybrides ou convergees, c’est a dire utilisant des accélérateurs de calculs tels que les GPUs (Graphics Processing Units). Cette approche permet de simuler les premiers milliards d’années de vie de l’univers, et notamment la formation des premiers objets massifs comme les galaxies, pendant l’époque de la reionisation. Il est déjà utilisé à très grande échelle sur certains des supercalculateurs les plus puissants du monde.