Une équipe d’astronomes dont des chercheurs de l’Observatoire astronomique de Strasbourg (CNRS/Université de Strasbourg) a découvert un trou noir de faible masse avalant la matière arrachée à une étoile compagnon à un taux beaucoup plus élevé que normalement possible. Ces résultats montrent qu’il n’est pas nécessaire de recourir à une classe mystérieuse de trous noirs massifs pour expliquer la luminosité exceptionnelle des sources X dites ultralumineuses. Les observations qui ont conduit à ces conclusions proviennent des télescopes optiques géants de l’Observatoire européen austral (ESO) et des télescopes spatiaux en rayons X Chandra, Swift (NASA) et XMM-Newton (ESA). Ils paraissent dans la revue Nature le 9 octobre.
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